Jeudi 5 juin, rencontres de l'ANVITA (Association Nationale des Villes et Territoires Accueillants) à Lyon.
les collectifs de lutte pour le logement se sont réunis devant la mairie pour interpeller les élu·es et leur demander des réponses sur les différentes situations des personnes à la rue.
ils dénoncent l’hypocrisie des discours d’accueil face à la réalité du racisme d’État et des politiques d’expulsion et d’abandon. si l’hébergement d’urgence est une compétence de l’État, les collectivités locales ne peuvent se contenter de s'en tenir au cadre.
La révolte n’attend pas que l’on encadre.
Elle naît dans le ventre, pas dans les notes de bas de page.
Elle éclate. Elle déborde.
Elle frappe quand il n’y a plus d’autre choix.
Elle ne demande ni vote, ni validation.
Les douleurs et violences institutionnelles ne se conçoivent pas. Elles se ressentent, s’impriment dans les chairs, cognent, tuent.
Faudrait-il ne pas froisser, simplement parce qu’en face, c’est encore plus brutal ?
Briser le silence n’est pas diviser.
C’est refuser de construire sur des hiérarchies déguisées.
A bon entendeur,
Elle naît dans le ventre, pas dans les notes de bas de page.
Elle éclate. Elle déborde.
Elle frappe quand il n’y a plus d’autre choix.
Elle ne demande ni vote, ni validation.
Les douleurs et violences institutionnelles ne se conçoivent pas. Elles se ressentent, s’impriment dans les chairs, cognent, tuent.
Faudrait-il ne pas froisser, simplement parce qu’en face, c’est encore plus brutal ?
Briser le silence n’est pas diviser.
C’est refuser de construire sur des hiérarchies déguisées.
A bon entendeur,